tampons
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Tapis
volant du manque, tu écrivais des lettres.
Tu en as épongé le confidentiel absurde, écume en tampons les flashes poétiques. Et tu les as rangés en pages. Si tu tamponnes encore de temps en temps, aujourd'hui tu livres des cartes postales réversibles et sans bla bia bla comme des cartes à jouer. Magique et cool, physique. C'est tes photos d'Australie. Elles arrivent de Saint-Denis. Y'a pas de règle !... Chantent les larmes des étoiles, la mémoire des mouettes et la peau de l'arc-en-ciel. Bravo l'artiste, et merci ! Mais écrire sur l'art, c'est pas du caviar !... Je vous prie d'agréer l'incommunication totale. Tes tampons sont le déclic. lettre
de Marie-Odile Briot à Michèle Gignoux (extrait) |
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à
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